Les jardins d'Hélène

0% - Franck Ruzé

15 Juin 2007, 18:34pm

Publié par Laure

0-pour-cent.jpg Il y a parfois des erreurs de lecture. Je faisais confiance au Dilettante, on y a déjà fait de belles découvertes. J’aimais le titre (original) et je pensais naïvement qu’un roman sur l’anorexie ne pouvait pas être mauvais, mais forcément fort et poignant. Erreur sur toute la ligne. On dirait du Beigbeder pour le côté trash, mais en mal écrit.

L’héroïne, mannequin, pardon, top model, nous raconte ses talents d’ABV : anorexique boulimique vomisseuse. Mais pour que ce soit drôle, elle nous noie ça dans des phrases rapides et vulgaires, qui n’ont pour décor et contenu que la coke, l’alcool, sa copine (elle est lesbienne) et les trips d’une jeunesse friquée qui joue sa jet-set dans l’ennui, la médiocrité et la luxure. Lassant, très vite lassant, d’un intérêt proche de zéro (%). Abandonné à la page 45 sur 125, feuilleté en diagonale jusqu’à la fin, et je crois que c’est déjà trop.

 

L’avis d’un lecteur qui a beaucoup aimé (avec des extraits qui vous permettront de vous faire une idée) : sur Benzinemag.

 

 

Le Dilettante, avril 2003, 125 pages, prix : 13 €

Ma note : 1/5

Crédit photo couverture : éd. Le Dilettante et Benzinemag.net

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10 ème prix des lecteurs 13-16 ans de la ville du Mans/Sarthe

13 Juin 2007, 18:14pm

Publié par Laure

L'an dernier à pareille époque, je vous parlais du lauréat du 9ème prix des Lecteurs 13-16 ans de la ville du Mans (étendu à présent à tout le département de la Sarthe) et vous annonçais la sélection 2007.

Je me suis rendue cet après-midi à la remise du prix de la 10 ème édition.....

Avant de vous donner le lauréat, un petit rappel des gagnants de ces 9 dernières années (choisis par des lecteurs volontaires entre 13 et 16 ans, qui participent avec leur documentaliste, leur prof de français ou leur bibliothécaire) Chaque année ils sont 1500 à participer environ et comme il faut avoir lu 8 livres au minimum pour pouvoir voter (sur les 10 proposés chaque année), environ 1000 à voter réellement. Tout au long de l'année scolaire, ils peuvent rencontrer les auteurs, soit dans leur établissement scolaire, soit dans leur bibliothèque ou chez un libraire partenaire.

Alors... en 1998, le prix était attribué à L'Oasis, de Xavier-Laurent Petit
en 1999, à Mélodie pour Nora, de Marc O'Sullivan
en 2000, à la Promesse, de Yaël Hassan
en 2001, à Oh, Boy ! , de Marie-Aude Murail
en 2002, à la Vie en gros, de Mikael Ollivier
en 2003, aux cent mille briques, de Jean-Louis Viot
en 2004, aux Larmes de l'assassin, d'Anne-Laure Bondoux
en 2005, ,à Mosa Wosa, de Nathalie Legendre
en 2006, l'an dernier donc, à Soldat Peaceful de Michael Morpurgo

Cette année, les 10 titres sélectionnés par des professionnels (libraires, bibliothécaires, enseignants....) étaient les suivants (par ordre alphabétique de titre) :
- l'Ange du Namib, de Jean-François Chabas
- le cavalier démonté de Gisèle Bienne
- Danseurs de lumière, de Frédérique Lorient
- L'enfant à la bouche de silence, d'Adeline Yzac
- Entre les vagues, de Claudine Galea
- Le garçon qui se taisait, de Lois Lowry
- L'heure de la vengeance, de Catherine Missonnier
- Pépites, d'Anne-Laure Bondoux
- Soleil métallique, d'Alex Cousseau
- Sorcière blanche, d'Anne-Marie Desplat-Duc

Et le gagnant est ....

pepites.jpg

Pépites, d'Anne-Laure Bondoux

qui réalise un beau doublé puisqu'elle avait déjà remporté ce prix pour les larmes de l'assassin en 2004.

Elle a répondu aux questions des collégiens, et a remporté quelques cadeaux, du genre très pratique à ramener en train : un panier garni d'oeufs fermiers Label Rouge de Loué, des rillettes du Mans, du vin, et des tas de beaux-livres sur la ville et le département.

Et comme j'aime les surprises, j'ai acheté le livre lauréat, et elle me l'a gentiment dédicacé pour l'un(e) d'entre vous, chers lecteurs. Mes stats me disent que vous êtes 300 à 350 à passer ici chaque jour, alors vous qui me lisez, vous avez une chance sur 300 à 350 de le trouver dans votre boîte aux lettres. J'espère que vous aimez la littérature dite de jeunesse - elle renferme parfois de vraies pépites - et que vous ne l'avez pas déjà...

Bon vent, et bonnes lectures !

Demain je file à Angers, idem vendredi, alors pas de web, sauf tard le soir, quand l'Unimarc aura eu raison de ma petite cervelle. (Les bibliothécaires comprendront !)

Edit du 21 juin 2007 : voici le classement des votes pour ce prix : 

1- Pépites ­ Anne-Laure Bondoux
2- Danseurs de lumière ­ Frédérique Lorient
3- Sorcière Blanche - Anne-Marie Desplat-Duc
4- Soleil métallique ­ Alex Cousseau
5- L'heure de la vengeance ­ Catherine Missonnier
6- Le cavalier démonté ­ Gisèle Bienne
7- Le garçon qui se taisait ­ Lois Lowry
8- L'enfant à la bouche de silence ­ Adeline Yzac
9- Entre les vagues ­ Claudine Galea
10- L'ange du Namib ­ Jean-François Chabas

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Nic Oumouk - Manu Larcenet (2 tomes parus)

12 Juin 2007, 16:56pm

Publié par Laure

Total souk pour Nic Oumouk (tome 1)

 

nic-oumouk1.jpg Je croyais vous avoir déjà parlé de Nic Oumouk, car Larcenet fait partie de mes chouchous en BD, et puis petit tour dans les archives, ben non. Pourtant je l’avais trouvé très réussi ce tome 1, paru il y a 2 ans, un album pour les ados (dès 10 ans) qui régalera aussi les adultes.

Nic Oumouk est un gamin de banlieue, qui joue les durs mais a un coeur bon comme du bon pain. Lassé d’être racketté par Yannick Noa, le dur du quartier, il se fait embaucher à l’essai comme apprenti délinquant. Mais même avec de la bonne volonté, Nic n’arrive pas à être méchant. Entouré de son copain Jambonneau (Jean-Bruno), de sa mère et de sa grand-mère, il rêve de revoir son père, parti il y a 5 ans déjà pour une construire une autoroute dans un pays très lointain : la Finlandalousie, pensez donc. Dans cette banlieue franchement drôle sévit un justicier : Edukator, un Batman de la nuit qui combat l’illettrisme et punit les sauvageons à coup de grammaire et d’orthographe. 
A lire, vraiment, vous ne le regretterez pas !! (J’avais hésité à l’époque à le proposer à fiston qui n’avait que 10 ans – on l’a classé en ados à la bib – mais j’ai bien fait de lui laisser quand même, je me souviens encore de ses éclats de rire, et des jours nombreux où il me saoûlait avec le refrain « « oualalaradime ».)

 

Nic Oumouk tome 2 : la France a peur

 

nic-oumouk-2.jpgLes banlieues sont à feu et à sang, les voitures brûlent et la France a peur. Arrêté sur un malentendu, Nic Oumouk doit choisir entre une peine de prison ou un travail d’intérêt général. Mais voilà, dans « T.I.G », il y a travail, et ça, c’est pas chouette. Convaincu par Edukator, Nic part vers Rallerolles-Pamoisan, juste après Loing-sur-Patoupret et Diable-Vauvert, notre belle province quoi, où il est accueilli en grande pompe par le maire, avant de rejoindre la coopérative bio du village médiéval reconstitué, où il va vendre des kebabs bio aux touristes. Des kebabs au poisson, du goujon de la Drance ! Nic doit dormir avec les poules, les coriaces galinettes de Limou, et comme il ne s’avère pas doué au jardin ni avec les lapins, ben c’est pas la folle entente avec le papi paysan. A moins qu’il ne découvre un complot qui trempe les plus hautes sphères de l’Etat : un laboratoire génétique aux effrayantes expériences…

Ainsi Nic a quitté sa banlieue pour la campagne, et même s’il y a quelques déçus par ce tome 2, je l’ai quand même trouvé franchement drôle ! Une série que je continuerai donc à suivre !

Dargaud, coll. Poisson Pilote, avril 2007, 48 pages, prix : 9,80 €

Ma note : 4/5

Crédits photos couvertures : éd. Dargaud et Amazon/Fnac.fr

Dargaud, coll. Poisson Pilote, avril 2005, 48 pages, prix : 9,80 €

Ma note : 4,5/5

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Un week-end sur deux - Corinne Dreyfuss

11 Juin 2007, 20:58pm

Publié par Laure

un-we-sur-deux.jpg Arthur est fils unique, mais aussi le dernier d’une famille recomposée. Il vit avec son père et sa mère, et attend, un week-end sur deux, la visite de ses demi-frères et sœur, enfants plus grands de son père : Lili, Théo et Tom. Il apprend à gérer leur absence, se réjouissant de leur présence. Lili, Théo et Tom habitent loin, ils prennent l’avion un week-end sur deux pour venir voir leur père, et entre temps, tout ce petit monde communique par webcam interposée.

Un point de vue original et que je ne crois pas avoir déjà vu abordé que celui de l’enfant dans une famille recomposée, celui qui est arrivé « après », et qui souffre un peu d’être seul, quand c’est si bien à plusieurs ! Publié dans la collection « petite poche, des romans comme les grands » chez Thierry Magnier, ces petits romans, très courts et très aérés dans leur mise en page (45 pages à peine) sont destinés aux enfants à partir de 7 ans, des premières lectures sur des sujets de grands, en quelque sorte.

J’ai trouvé ce petit texte très beau, très poétique, mais du coup peut-être un peu difficile pour des enfants si jeunes. Je l’ai lu à voix haute, sur une chaise longue dans le jardin, avec Mosquito dans mon giron, qui… s’est endormie ! Grandinette l’avait commencé aussi mais elle s’est endormie dessus aussi (bon, elle avait eu une journée très chargée, entre anniversaire de copines, répétitions et gala de danse). Il ne reste que moi, qui l’ai apprécié, mais trouvé trop court pour mon regard d’adulte, et qui le conseillerais plutôt à partir de 8-9 ans.

 

Ed. Thierry Magnier, coll. Petite poche, oct. 2005, 45 pages, prix : 5 €

Ma note : 4/5

Crédit photo couverture : éd. Thierry Magnier et Amazon.fr

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La disparue de Deauville, un film de Sophie Marceau (2007)

11 Juin 2007, 15:19pm

Publié par Laure

Avec Christophe Lambert, Sophie Marceau, Nicolas Briançon

Durée : 1h40

 

disparue-de-deauville.jpgLe synopsis d’Allociné :

"Victoria, une actrice célèbre en son temps, à l'aura et au charme saisissants, est morte il y a trente ans dans des circonstances troublantes. Elle réapparaît mystérieusement dans la vie d'un flic solitaire, Jacques, enquêtant sur une disparition, au coeur d'un palace de Normandie...

Que veut cette femme comme surgie d'une autre époque ? Pourquoi a-t-elle choisi Jacques ? Quels secrets se cachent derrière le luxe de ce palace ?"

 

Anne avait défendu ce film que la critique presse méprisait, et elle a eu bien raison (Anne !). Ce qui est certain, c’est que je n’aime toujours pas Christophe Lambert, et ce qui est certain aussi, c’est que quand même, j’aime beaucoup Sophie Marceau, même si hélas dans ce film, on la voit plus sous perruque qu’au naturel où je la trouve bien plus jolie. Il faut démêler l’intrigue, les hallucinations de notre Christophe en flic quelque peu perturbé depuis le décès de sa femme, les fantômes qui surgissent dans les couloirs de l’Hôtel Normandy à Deauville sous les traits d’une belle femme mystérieuse, mais on se laisse prendre et l’histoire est assez bien vue. L’amour rend fou, c’est un peu comme cela qu’on pourrait schématiser ce film, où mensonges, manipulation et secrets de famille s’entremêlent. Hormis la fin un peu brusque et « neuneu », c’est pas mal du tout. Et comme dit Anne, franchement, une course poursuite en Smart rose bonbon, ça fait rire !

 

Ma note : 3,5/5

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Coeurs perdus, un film de Todd Robinson ( 2007)

10 Juin 2007, 19:30pm

Publié par Laure

Avec John Travolta, Salma Hayek

coeurs-perdus.jpg Le synopsis d'Allociné : 
"A la fin des années 40, un couple aussi séduisant que mortel sème la panique dans tous les Etats-Unis. Leur mode opératoire est toujours le même : Ray séduit de jeunes femmes isolées et les dépouille, puis avec le soutien actif de Martha, les tue. L'inspecteur Elmer C. Robinson se lance à leurs trousses, et cette affaire change définitivement sa vie."

Si la scénario est vite limpide, ce film très noir a quand même du bon : une reconstition des années 40 aux Etats-Unis plutôt réussie, dans ses décors, accessoires et costumes. Salma Hayek y est maléfique et le couple infernal qu'elle dirige tourne à la folie sanguinaire de plus en plus horrible. ça finit en véritable boucherie, et on est presque heureux de voir arriver les deux éxécutions sur la chaise électrique. Dur, sombre, un film dont on ressort un peu étourdi quand même, avec un besoin de bouffée d'air frais !

NB : le réalisateur est parti d'une histoire vraie, relatée par son grand-père qui était policier.

Ma note : 3/5

 

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Tsubame - Aki Shimazaki

9 Juin 2007, 15:02pm

Publié par Laure

(Le poids des secrets t. 3/5)

tsubame.jpg

  
Au début, rien ne permet de raccrocher ce tome aux deux précédents, Tsubaki et Hamaguri, l’histoire paraît totalement indépendante.

En 1923, Yonhi a tout juste 12 ans. Ses parents, poursuivis pour leur activité indépendantiste, fuient la Corée au moment de la colonisation japonaise, et s’installent à Tokyo. Yonhi vit désormais seule avec sa mère (son père aurait disparu avant sa naissance) et elle ne va toujours pas à l’école, elle étudie à la maison. Le 1er septembre 1923 a lieu le terrible tremblement de terre du Kanto, qui fit 100 000 morts, 40 000 disparus et plus de 100 000 blessés, et détruisit les villes de Tokyo et Yokohoma. Profitant de la panique, les Japonais tentent de tuer tous les Coréens présents sur leur territoire. Pour sauver sa fille, sa mère la confie à un prêtre (surnommé Tsubame) qui protège d’autres orphelins dans son église. Partie à la recherche de son oncle, elle ne reviendra jamais. Rebaptisée Mariko Kanazawa, elle se fond peu à peu dans une nationalité japonaise.

La deuxième partie du livre se déroule 59 ans plus tard, Yonhi/Mariko vit avec son fils Yukio et ses trois petits enfants, dont la petite Tsubaki. Le lien est fait avec les tomes précédents !

Une exhumation des corps des Coréens tués lors du tremblement de terre est prévue, et Mariko (veuve Takahashi), s’y rend. De rencontre en rencontre, elle revisite ses souvenirs et les lourds secrets de son passé.

Un court volume très réussi, toujours dans le minimalisme mais d’une grande force évocatrice. Cette partie de l’histoire (avec un petit et avec un grand H) est intéressante et me donne encore plus envie de découvrir les autres volumes.

 

A ma connaissance, ce titre n’est pas paru en poche. A vos porte-monnaie ou à vos bibliothèques !

 

Les avis de Frisette, Jules, et l’encreuse ...

Actes Sud, nov. 2001, 123 pages, prix : 11,50 €

Ma note : 4/5

Crédit photo couverture : éd. Actes Sud et Amazon.fr

 

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Un p'tit bout de la vraie vie

8 Juin 2007, 13:53pm

Publié par Laure

Il y a quelques temps vous vous étiez émus du sauvetage de ce jeune innocent... et bien sachez aussi que 9 fois sur 10, je ne peux pas grand-chose pour eux, 
juin-2007-007.jpg
surtout si la tête est déjà manquante (la chose rose là par terre, c'est un oeil. Le chat est pas bête, le chat trie. Bon appétit). N'empêche qu'avec la quantité de lapins que mange cette chatte, un par jour au moins pour ce que je vois, pelage compris, je ne comprends pas pourquoi elle est toujours aussi maigre. Peut-être parce qu'elle mange des lézards aussi, et que les lézards font maigrir les chats, disent les vétérinaires. Pourtant je vous assure qu'elle a le gîte et le couvert à la maison, mais rien ne semble égaler les plaisirs de la chasse. Même Mosquito en a pris son parti, et se contente de m'énumérer le gibier du jour (souris, lapins, oiseau...) !

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Suffit de demander ! (Lou! tome 4)

7 Juin 2007, 13:25pm

Publié par Laure

lou1.gif Je le vois dans les stats, vous êtes nombreux à arriver ici après avoir tapé "tome 4 de Lou ! , Julien Neel" dans Google, ou à me poser la question directement comme lélé ce matin, alors j'ai fini par poser la question directement à l'éditeur ! Magie quasi instantée du mail : oui le tome 4 de Lou ! est prévu, et il est annoncé pour octobre 2007, chez Glénat bien sûr. (c'est malin, du coup je suis impatiente !)


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Ellen Foster - Kaye Gibbons

6 Juin 2007, 13:39pm

Publié par Laure

Traduit de l'américain par Marie-Claire Pasquier

 Ellen Foster a tout juste 11 ans lorsqu’elle perd sa mère et qu’elle rêve de tuer son père, toujours ivre mort et violent tant verbalement que physiquement. Le plus souvent il ignore qu’il a une fille, et c’est mieux ainsi. Elle se réfugie alors chez son amie Starletta, une gamine issue d’une famille noire, qui vit dans une grande pauvreté mais où l’amour familial réchauffe le cœur d’Ellen. Mais le racisme sévit encore, dans le sud des Etats-Unis, et c’est mal vu. Ballottée de famille d’accueil en membre de la famille proche, Ellen n’a que la méchanceté et l’avarice des siens pour grandir. Elle finira par choisir elle-même la famille où elle a envie de se poser. Bien que tout soit grave et sordide autour d’elle, Ellen a une lucidité et une foi en la vie qui surprend et qui met du baume au cœur.

C’est un beau récit où une lueur d’enfance balaie d’un revers toute la médiocrité des adultes.

J’ai bien aimé ce livre, pourtant je n’ai pas d’empressement particulier : prenant et bien écrit, c’est néanmoins du déjà lu. Pas très original quoi…. (comment ça j’suis sévère ? oui, un peu.)

Ellen Foster est le premier roman de Kaye Gibbons, publié pour la première fois en 1987.

Christian Bourgois, coll. Titres, sept. 2006, 182 pages, prix : 6 €

Ma note : 3,5/5

Crédit photo couverture : éd. Bourgois et Amazon.fr

Crédit tout court : merci Cuné !

 

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