Les jardins d'Hélène

Max et Lapin : la grosse bêtise - Astrid Desbordes et Pauline Martin (ill.)

22 Mars 2018, 11:11am

Publié par Laure

Max, armé de sa trompette et de son casque (une passoire à l’envers sur la tête) a envie de jouer à la bataille. Mais c’est l’heure de la sieste et papa et maman veulent être tranquilles, ils se reposent dans le jardin à l’ombre d’un arbre.

Max part donc seul à l’aventure avec son fidèle doudou Lapin : le potager gardera quelques séquelles de son jeu de bataille. A son réveil, papa est très fâché.

Un sixième album doux et bienveillant de Max et Lapin, sur les bêtises, la colère et le pardon. Et à tout âge chacun grandit de ces émotions difficiles. On apprend de ses erreurs.

Le dessin de Pauline Martin est tendre et apaisant, le choix de la mise en page est simple mais fonctionne bien pour les tout-petits : texte à gauche sur fond blanc, illustration à droite en pleine page.

 

 

(à partir de 2 ans)

 

 

 

Nathan, février 2018, prix : 5,90 €, ISBN : 978-2-09-257983-1

 

 

 

Crédit photo couverture : © Pauline Martin et éd. Nathan

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Dans les angles morts – Elizabeth Brundage

18 Mars 2018, 19:07pm

Publié par Laure

Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Cécile Arnaud

 

 

23 février 1979 à Chosen, état de New-York : en rentrant de l’université où il travaille, George Clare retrouve sa femme Catherine assassinée, une hache plantée dans le crâne. Leur petite fille de trois ans, Franny, est restée seule avec le corps.

 

Un an auparavant, dans cette même ferme, un couple s’était donné la mort, laissant trois jeunes enfants orphelins. La maison porterait-elle en elle une malédiction ?

(p.78 : "La maison était maudite. C'est ce que les gens disaient. Personne n'en voulait")

 

Bien qu’il soit immédiatement suspecté par la police, George se réfugie chez ses parents sans être inquiété outre mesure. L’aspect policier n’est pas l’élément principal du roman même si le lecteur aura bien toutes les clés au fil de sa lecture.

 

Le récit prend le temps de s’installer, se déroule lentement, pour mieux embarquer son lecteur par d’habiles retours en arrière et un panorama de personnages secondaires riches à la psychologie fouillée. L’auteur prend soin de visiter, avec l’air de ne pas y toucher, tous les angles morts qui occultent la vérité, et déconstruit peu à peu l’image du couple et plus particulièrement du mari. La construction, les analyses très fines, le mensonge permanent sont des éléments aussi brillants que glaçants.

 

Plus on approche de la fin du roman et plus on ralentit sa lecture pour ne pas le quitter trop vite : et si c’était aussi à cela qu’on mesurait un grand roman ?

 

 

Le voici enfin mon coup de cœur de la sélection roman du Grand Prix des Lectrices de ELLE 2018, celui qui a ce je-ne-sais-quoi de plus abouti que les autres dans l’écriture, une ambition réussie autant dans l’histoire que dans la forme narrative, qui se traduit par un vrai plaisir de lecture, qui vous prend dans son cocon et que vous ne voulez pas quitter. Enfin un roman qui sort du lot !

 

 

 

Lu dans le cadre du Grand Prix des Lectrices de ELLE 2018

 

 

 

C’est le premier traduit en français d’Elizabeth Brundage, souhaitons que les précédents le soient et qu’elle en ait un cours !

 

 

 

Quai Voltaire, janvier 2018, 516 pages, prix : 23,50 €, ISBN : 9782-7103-8381-9

 

 

 

Crédit photo couverture :  © Mike Dober / Arcangel Images / et éd. Quai Voltaire / La table ronde

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L’ordre du jour – Éric Vuillard

12 Mars 2018, 11:46am

Publié par Laure

Prix Goncourt 2017, ce roman d’Éric Vuillard raconte l’annexion de l’Autriche par Hitler en 1938.

 

20 février 1933 : vingt-quatre grands financiers allemands rencontrent Hermann Goering, le président du Reichstag, et financent le parti nazi.

12 février 1938 : Hitler fait signer à Schnuschnigg, le chancelier autrichien, un accord qui dépossède l’Autriche de toute autonomie. Le 16 février, elle tombe sous tutelle allemande.

 

J’ai lu ce livre pour un club lecture, je ne l’aurais jamais lu de moi-même, je n’ai aucune affinité avec l’Histoire et les romans historiques.

 

Que dire donc, sinon que j’ai eu l’impression de réviser contrainte et forcée un manuel d’histoire. Toutefois … toutefois je reconnais la très belle écriture d’Éric Vuillard : le style est élégant, ne manque pas d’humour, le travail est sans doute extrêmement documenté, du beau travail de qualité, que les amateurs d’histoire ne manqueront pas d’apprécier.

 

 

 

 

Actes Sud, mai 2017, 150 pages, prix : 16 €, ISBN : 978-2-330-07897-3

 

 

 

Crédit photo couverture : © Gustav Krupp von Bohlen und Halbach, Georg Pahl, German Federal Archive, Bundesarchiv, et éd. Actes Sud

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En camping-car – Ivan Jablonka

11 Mars 2018, 16:20pm

Publié par Laure

Ivan Jablonka, historien et écrivain, raconte ici ses souvenirs d’enfance de vacances en famille dans le combi Volkswagen de ses parents, ainsi que l’histoire de ce véhicule mythique devenu symbole d’une génération et d’un mode de vie.

 

Les vacances en camping-car, à sillonner l’Europe, c’était avant tout un symbole de liberté et de découverte extraordinaire.

 

Le récit est plaisant, mais vaut surtout pour l’analyse sociologique de ce type de vacances dans les années 1980-90.

 

J’ai été gênée par le fait que l’auteur revienne à de nombreuses reprises sur la question de sa judéité, si je l’entends pour l’histoire de ses grands-parents sur lesquels il a déjà écrit, je ne vois pas bien le rapport avec le sujet de ce texte-ci.

 

Un ouvrage à offrir aux amoureux des combi Volkswagen et d’une époque révolue, celle du camping sauvage, sans quoi le récit risque d’être assez vite oublié.

 

 

Quelques extraits :

p. 67 : « Notre bonheur ne dépendait pas des achats (on avait tout à la maison), mais de notre mise à distance de la société de consommation. Les biens n’avaient pas d’attrait, puisque nous les possédions déjà. La simplicité était devenue notre luxe. En ce sens, le camping-car était postindustriel. »

 

p. 115 : « Si les moqueries de mes camarades me mettaient mal à l’aise, c’est parce que je sentais qu’elles visaient bien plus que des vacances : notre identité familiale, notre mode de vie, notre « style », la personnalité de mes parents, donc l’éducation que je recevais d’eux. Partir un camping-car révélait un certain niveau de revenus, mais aussi l’absence de traditions familiales et de racines ; un certain capital culturel, mais aussi un manque de savoir-vivre, une inclination au ridicule, mais aussi une liberté d’esprit, une capacité de détachement, par fierté ou indifférence au qu’en-dira-t-on. »

 

 p. 120 : « La façon dont mes parents ont élu et pratiqué le camping-car illustre le génie de la bourgeoisie à diplômes : le pressentiment que l’essentiel, pour réussir à l’école, ne s’apprend pas à l’école ».

 

 

 

 

Lu dans le cadre du Grand Prix des Lectrices de ELLE 2018, catégorie Documents.

 

 

 

 

 

 

Seuil, coll. La librairie du XXIème siècle, 172 pages, prix : 17 €, ISBN : 978-2-02-136161-2

 

 

 

Crédit photo couverture : © archives de l’auteur et éd. du Seuil

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Faire mouche – Vincent Almendros

9 Mars 2018, 15:24pm

Publié par Laure

Laurent Malèvre est un homme sans histoire. Il lui coûte de retourner dans son village natal, Saint-Fourneau, perdu au milieu de nulle-part, pour le mariage de sa cousine. Il a loué une voiture pour l’occasion, il est accompagné de Claire, qu’il présente à sa famille comme étant Constance, sa compagne enceinte de trois mois. Famille qu’il n’a guère envie de revoir tant son passé avec elle semble sombre et douloureux. De mystères en rumeurs dévoilées, Laurent plonge avec Claire dans une atmosphère sinistre, grave, pesante.

 

Les fils se dénouent au fur et à mesure, sans trop s’éclaircir non plus, ni du point de vue du passé que l’on perçoit complexe et chargé, ni du point de vue de l’ambiance présente.

 

Le lecteur avance en apnée dans ce court texte, écrit au millimètre, où rien n’est de trop, pour finir aussi anéanti qu’admiratif : tout jusqu’au dernier mot confirmera le talent de l’auteur à rendre l’atmosphère de son roman oppressante et dramatique.

 

Certes j’aurais aimé avoir davantage de clés sur les faits passés, mais l’essentiel n’est pas là, la relation toxique à la mère est bien au cœur du roman, jusque dans sa plus surprenante conséquence.

 

J’avais beaucoup aimé le précédent roman de Vincent Almendros, Un été, il confirme si besoin combien son écriture, ramassée, expressive d’un drame latent, est précise et efficace. Une petite pépite de la rentrée d’hiver, si brève qu’il serait dommage de s’en priver.

 

 

 

 

Ed. de Minuit, janvier 2018, 126 pages, prix : 11,50 €, ISBN : 978-2-7073-4421-2

 

 

 

Crédit photo couverture : © éd. de Minuit

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L’air de rien – Aude Picault

8 Mars 2018, 11:42am

Publié par Laure

J’ai beaucoup aimé cette BD, simple, plaisante à lire. Elle regroupe 90 strips (sur 2 lignes chacun) qui traitent de la vie, comme ça, l’air de rien : le couple, les enfants (et les règles d’éducation qui vont avec), le sexisme ordinaire, les relations hommes-femmes, un peu de sexe aussi, souvent entaché de complexes.

 

Les saynètes sont régulièrement entrecoupées de doubles pages avec à gauche deux petites vignettes, et à droite un dessin pleine page, où le champ s’élargit pour un autre éclairage de la scène (de vie parisienne) énoncée par les miniatures.

 

Attention, ces dessins ont déjà été publiés entre 2013 et 2015 en noir et blanc dans le supplément week-end de Libération, ce ne sont pas des inédits, mais si comme moi vous ne connaissiez pas cette auteure, cet album est une belle découverte.

 

 

Dargaud, octobre 2017, 69 pages, prix : 16,50 €, ISBN : 978-2-205-07737-7

 

 

 

Crédit photo couverture : © Aude Picault et éd. Dargaud.

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Quelques nouveaux « Questions-réponses » 3+ , 5+, 7+ - Nathan

7 Mars 2018, 10:02am

Publié par Laure

Quelques nouveaux  « Questions-réponses »  3+ , 5+, 7+  - Nathan

Quelques nouveaux titres des collections questions-réponses qui marchent toujours (celles-ci sont chez Nathan mais les premiers docs de chez Milan plaisent bien aussi aux jeunes lecteurs de la bibli)

 

Deux nouveaux titres dans « mes premières questions-réponses » à partir de 3 ans : le 13ème porte sur les émotions et le 14ème sur les dinosaures

Les dinosaures, c’est le sujet intarissable, qui ne se démode jamais !

 

Les dinosaures et les enfants, ça marche toujours ! Même auprès des très jeunes. Cette collection s'adresse aux 3-5 ans, le papier glacé épais résiste bien aux petites mains impatientes et les dessins sont sympas (ils ne font pas peur !). Chaque double page propose un petit jeu de "cherche et trouve".

 

On redécouvre quelques variétés de ces espèces aux noms à rallonge en -saure ou en -raptor mais quelques raccourcis surprendront les parents : "à la naissance les bébés maiasaures mesurent 30 cm, comme un bébé humain" (euh ??!!) et est-ce que tous les dinosaures ont disparu ? "non, pas tout à fait ! Certains dinosaures ont survécu : ce sont les oiseaux !"  Ah, je vais avoir du mal à convaincre le p’tit que le pigeon du square est en fait un dinosaure.

 

 

Les émotions… que dire si ce n’est qu’en tant que bibliothécaire je n’en peux plus des bouquins sur les émotions ! Tous les éditeurs s’y sont mis et tous les représentants tentent de nous les refourguer comme la nouveauté indispensable de l’année si on ne veut pas être responsable de 20 ans de psychanalyse plus tard… Sujet à la mode depuis 2 ou 3 ans, je ne peux juste plus en avaler (chez les adultes, c'est tout le rayon développement personnel). La colère la joie la peur, toussa toussa. Ah si dans celui-ci il y a le dégoût quand le petit voit une crotte de chien…

 

 

 

Dans la tranche 5-7 ans, un questions-réponses sur LA question rengaine des petits : « comment on fait les bébés ? »

 

De la fécondation au retour de la maternité, tout est expliqué sur l'amour, le rapport sexuel, la façon dont le bébé grandit in utero, etc. Une dernière double page explique aussi l'homoparentalité, la FIV, l'adoption... ou le fait de ne pas vouloir / pouvoir avoir d'enfants.


La transition avec la toute dernière page est un peu abrupte : on passe d'une aventure humaine et familiale aux 12 mamelles de la truie, au bébé girafe qui tombe de 2 mètres de haut en naissant, le parallèle est fait avec d'autres mammifères mais ça surprend un peu !

 

 

Et pour les 7 ans et +, un doc que j’ai trouvé passionnant : le cerveau !

Les deux auteurs sont professeurs de psychologie et travaillent dans un labo de recherche du CNRS à mieux comprendre les mécanismes d'apprentissage du cerveau chez des enfants.
Leur synthèse est ici hyper intéressante, simple (adaptée aux enfants à partir de 7 ans) et aborde un large volet de questions ou de problématiques liées au cerveau.


Les encarts sont brefs, une large place est faite aux illustrations, la mise en page est sympa : bref tout donne envie de s'y plonger (et d’aller un peu plus loin dans les neurosciences). On compare aussi le cerveau humain à celui des animaux, et on aborde la maladie (AVC, Alzheimer, accidents et traumatismes crâniens) et l'Intelligence Artificielle.

 

 

 

A quoi on reconnait que ces premiers docs plaisent ? au fait que les enfants s’amusent à les reclasser à leur façon dans la bib, c’est-à-dire par collection, et non selon la sacro-sainte Dewey. Ou qu’ils te demandent tous les autres titres de la collection que l’éditeur a malignement imprimé sur la 4ème de couv. ! Mais comme souvent ils sont tous empruntés, ils n‘ont plus qu’à apprendre la patience 😊.

 

 

Éditions Nathan, parus en février et mars 2018, chacun des titres : 6,95 €

 

 

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Défaillances – B.A. Paris

6 Mars 2018, 10:33am

Publié par Laure

Traduit de l’anglais pas Vincent Guilluy

 

Cassandra Anderson est enseignante. Elle rentre chez elle par une nuit d’orage, après une soirée pour fêter la fin de l’année scolaire. Elle traverse la forêt sous une pluie battante, malgré les objections préalables de son mari, qui lui conseillait de ne pas sortir de la grand- route.

 

Elle croise une voiture arrêtée, une femme est assise au volant. Est-elle en difficulté, en danger ? Doit-elle s’arrêter ? Mais la peur est trop forte, après avoir marqué un arrêt et attendu quelques minutes sans sortir de sa voiture, Cassandra repart. Elle apprendra le lendemain matin que la femme dans la voiture a été sauvagement assassinée.

 

Commence alors pour Cass une descente aux enfers. Harcelée au téléphone par des appels anonymes et silencieux, elle est persuadée qu’il s’agit du tueur. De plus en plus d’éléments bizarres s’accumulent, la faisant sombrer dans la paranoïa et la terreur.

 

Dès les premières pages, le lecteur devine aisément qui est le coupable, il reste donc à découvrir pourquoi il a agi et comment il sera confondu. Le récit se veut avant tout un thriller psychologique, où la tension nerveuse broie son personnage principal.

 

La mère de Cass était atteinte d’Alzheimer précoce et tout concourt à penser qu’elle suive le même chemin. A moins que ce ne soit justement ce que l’on veut lui faire croire.

 

Les ficelles du déroulement de l’intrigue sont un peu grosses, mais elles fonctionnent pour évoquer le basculement du personnage principal dans la frayeur. Le lecteur qui a saisi la manipulation cherche lui à savoir comment elle s’en sortira. Le ressort qui permet de découvrir la vérité est un peu tiré par les cheveux, mais l’effet page turner fonctionne.

 

Défaillances est un polar distrayant, peut-être un peu simpliste, qui vaut surtout pour la description de la conscience qu’a l’héroïne de sa perte de contrôle, et le jeu de l’ambiguïté entre folie et manipulation.

 

 

 

Lu dans le cadre du Grand Prix des Lectrices de ELLE 2018, catégorie Policier

 

 

 

 

 

 

Hugo thriller, janvier 2018, 394 pages, prix : 19,95 €, ISBN : 978-275563651-2

 

 

 

Crédit photo couverture : © Tony Watson / Arcangel Images et éd. Hugo thriller

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Si j’avais un perroquet je l’appellerais Jean-Guy (parce que Coco c’est déjà pris) – Blandine Chabot

5 Mars 2018, 15:52pm

Publié par Laure

Dans un roman de Françoise Sagan emprunté à la bibliothèque, Catherine trouve un papier sur lequel est écrit « Jean-Philippe », suivi d’un numéro de téléphone, et de « Appelle quand tu veux ». A-t-il été mis là exprès ou oublié par le lecteur précédent ?

Ne s’étant pas remise d’avoir vu son mari partir avec sa sœur, elle se dit… pourquoi pas ?

 

J’avais dans l’idée de lire de la chick-lit pour un projet professionnel, je suis peu familière du genre, même si j’en ai lu quelques-uns. Ce titre attirant me semblait tout trouvé.

 

Après une cinquantaine de pages je me suis posé la question d’abandonner ma lecture. N’étais-je pas en train de perdre mon temps à lire un roman si creux que je me demandais vraiment ce que je faisais là ? Je m’attendais certes à de la détente et à une lecture facile, c’est même bien ce que je cherchais avec ce type de roman, mais je ne m’attendais pas à ce qu’il soit aussi bavard pour ne rien dire ! Que c’est vide ! Beaucoup de digressions qui partent dans tous les sens, sans queue ni tête, alors que le postulat pourtant sympa semble être oublié. A moins que l’exercice ne soit justement là.

 

Je me suis entêtée quand même et j’ai bien fait car l’ensemble, s’il reste extrêmement léger, fait sourire à quelques reprises, notamment dans son franc-parler d’enseignante envers les parents d’élèves et dans sa chute. Quelques passages divertissants, un peu grotesques, qui répondent aux codes du genre ?

 

Dommage néanmoins que le début soit vraiment trop insignifiant et inconsistant, avec pour seul but un verbiage qu’on pourra rapprocher du titre à rallonge assez représentatif.

 

Vite lu, à réserver pour les vacances au bord de la piscine, ou les soirs de grosse migraine.

 

 

 

Badge Lecteur professionnel

 

 

 

Cherche-midi, février 2018, 288 pages, prix : 18 €, ISBN : 978-2-7491-5783-2

 

 

 

Crédit photo couverture : éd. du Cherche Midi

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Février 2018 en couvertures ....

1 Mars 2018, 07:45am

Publié par Laure

En février j'ai lu :

 

(Les couvertures sont cliquables quand elles renvoient à un billet)

 

                                 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En février j'ai vu :

 

 

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