Les jardins d'Hélène

Bye bye 2007 !

31 Décembre 2007, 09:53am

Publié par Laure

Ah ! l’heure traditionnelle des bilans, juste avant celle des bonnes résolutions, de celles qu’on prend pour aussitôt les oublier !

 

2007… Et bien ce fut pour moi d’abord l’année du divorce, même si ça ne concerne que moi, c’est pas de ces choses qu’on oublie, 10 minutes devant un juge pour balayer d’une signature 17 ans de vie commune, une procédure bouclée en moins de 3 mois, je ne dois pas être loin du record de « divorce express ».

2007, et bien, nouveau déménagement, un peu forcé, celui-là. Même à 1 km de distance, le travail reste le même, et les cartons sont toujours aussi lourds.

 

Malgré tout, j’ai repris tous mes kilos, les enfants n’ont pas l’air traumatisés et Mosquito me demande pourquoi je n’ai pas encore de nouveau mari ! (A bon entendeur, …. Naaan je déconne !)

 

Alors tout ceci expliquant peut-être cela, je n’ai pas en tête une foultitude d’éclats de lecture pour cette année écoulée. J’ai lu, oh oui, 162 titres additionnés dans mon petit carnet (dont 24 romans « jeunesse » et 21 BD, je ne compte pas les inachevés) et quand je le parcours, il ne m’en reste souvent hélas que la mémoire des titres et des auteurs.  

 

Quelques éblouissements quand même (applaudissements et autres étincelles) :

(sans ordre particulier)

Sa passion, de Véronique Olmi

La vie d’une autre, de Frédérique Deghelt

Je porte un enfant et dans mes yeux l’étreinte sublime qui l’a conçu, de Frédérique Deghelt

Un roman russe, d’Emmanuel Carrère

Je suis morte et je n'ai rien appris, de Solenn Colléter

Tous les enfants sauf un, de Philippe Forest

La chambre d’Albert Camus et autres nouvelles, de Ron l’Infirmier

Le treizième conte, Diane Setterfield

 

Compliments à :

Eloge de la cellulite et autres disgrâces, de Dominique Dyens

Equinoxe, d’Arnaud Pontier

Le combat d’hiver, de Jean-Claude Mourlevat (jeunesse)

Le corps de Liane, Cypora Petitjean-Cerf

Le garçon en pyjama rayé, de John Boyne (jeunesse)

Le cimetière des poupées, de Mazarine Pingeot

 

Mais avant de tourner la page 2007, un sourire sur toutes les belles rencontres : Tatiana de Rosnay, les reines Clarabel et Cuné, Sandra en visite sur mon lieu de travail, et toutes les blogueuses parisiennes en échappée rouennaise.

Et puis vous, lecteurs anonymes qui parfois osez un mail, des mots inattendus d’inconnus qui réchauffent le cœur, pour n’en citer que deux : « un blog sensible, drôle et intelligent », « critiques pertinentes, intelligentes, pleines d'humour, de sagesse et de finesse »,

merci à vous !

 

Et parce que 2007 n’a pas sonné sa dernière heure, je m’en vais ce soir partager les bulles de cette blogueuse extraordinaire, pas parce qu’elle lit plus que moi et n’aime pas les mêmes livres que moi, mais parce qu’elle est pétillante et généreuse, simple et chaleureuse !

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Bombón el perro, un film de Carlos Sorin (2005)

30 Décembre 2007, 21:53pm

Publié par Laure

Avec Juan Villegas, Walter Donado

 

bombon-el-perro-copie-1.jpgSynopsis :

Licencié d'une station-service, Juan, 52 ans, passe alors ses journées à fabriquer des couteaux, qu'il vend tant bien mal autour de lui. Un jour, pour le remercier de l'avoir dépannée sur le bord de la route, une jeune femme lui offre un dogue argentin. Juan ne tarde pas à comprendre qu'il a en sa possession un chien de race, capable de décrocher des médailles. Associé à Walter, un professionnel plein d'enthousiasme, il devient alors exposant canin.

 

Alors qu’il vient d’être licencié, Juan peine à trouver un nouveau job, son âge ne l’aide pas. Hébergé par sa fille, il se fait tout petit, mais la vie est difficile. Juan déborde de gentillesse, et ne se départ pas de sa simplicité (ni de sa dignité), quelle que soit sa situation. Lorsqu’il ramène « le chien » chez sa fille, celle-ci le fiche dehors. C’est le début d’un road movie avec son joli dogue argentin ; un beau film simple et heureux, avec des moments d’humour, sur fond d’Argentine désertique, et un Bombón qui a un sacré caractère !

 
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Ma note : 3,5/5

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La chambre d'Albert Camus et autres nouvelles - Ron l'Infirmier

30 Décembre 2007, 15:47pm

Publié par Laure


chambre-albert-camus.jpgIl ne s’appelle pas Ron mais il est bien infirmier, ce métier habituellement féminin qui lui a valu de mauvais tours d’embauche, et il nous livre ici une série de chroniques sur son quotidien, courtes nouvelles qui toujours frappent fort. Ron est jeune mais il a un parcours riche d’expériences diverses, et qu’il parle de la mort ou des toilettes faites aux stars en fin de vie, de la maltraitance en maison de retraite ou de la chimio à l’hôpital, il a une empathie certaine pour ses patients, et surtout, un regard humain sur son métier et ses patients. Car ces saynètes de douleurs ou de mort, ce sont avant tout des histoires de VIE. 
Je ne savais pas en ouvrant ce livre que je le lirais d’une seule traite, sans jamais pouvoir le reposer, que parfois une larme viendrait poindre, que parfois je douterais de la véracité des atrocités (réelles), préférant me rassurer sous le couvert de la fiction, que parfois je sourirais, mais que toujours je trouverais « bien » ce style simple et vif, qui ne s’embarrasse pas de fioritures, pour dire la lutte quotidienne d’un infirmier qui cherche sans cesse le juste milieu pour aider sans materner, le refus des compromissions, les arguments répugnants de la rentabilité ou les caprices du médecin qui préfère partir jouer au golf. 
Etre humain, tout simplement, sans se voiler la face sur la réalité de la santé en France.

 

Les lectures de Tamara  et  Cuné 

Le site de l’auteur :
http://ron.infirmier.free.fr

 

Et la 4ème de couv, qui pour une fois vaut la lecture :

« Vous êtes en train de lire une quatrième de couverture. Ça s'appelle comme ça. Mes éditeurs, qui s'y connaissent un peu en marketing du livre m'ont dit que, dans l'idéal, ça devait être un texte accrocheur un pu putassier, genre aguicheur mais pas vulgaire, un texte qui vous donne envie de lire le livre.

Alors je m'y suis collé. Zéro idée.

Je pourrais vous dire : " Salut, je suis Ron, je suis infirmier, je parle de mes patients, voilà. Oh, le truc qui s'annonce soporifique ! " Jamais vous n'achèteriez ça, non ?

Je pourrais vous dire : " Bonjour, je suis Ron, je suis infirmier et j'écris pour survivre car, mon métier, c'est la souffrance et la plume de mon angoisse, elle frémit sur la page de mon livre cathartique. " Quelle rigolade ! Jamais vous ne liriez ça, non ? Remarque, le mec qui se la joue " auteur maudit "... Il a toujours un public pour ça. C'est un créneau. A creuser.

J'aurais aussi pu vous dire : " Bonjour, je suis Ron, j'ai des histoires incroyables à vous raconter. Du sexe, du vrai sexe, avec des vrais gens. Des morts, de l'adrénaline, des rapports humains, une incroyable aventure. " Oui, je pourrais dire ça. Mais bon, ça a déjà été fait mille fois, non ? Et puis, là, vous voulez un bon livre, pas un roman de gare...

Vous allez voir, on a plein de choses à se dire, vous et moi.

Plein. »

 

Editions Privé, coll. Les Clandestins, décembre 2006, 285 pages, prix : 15 €

Ma note : 5/5

Crédit photo couverture : éd. Privé et Amazon.fr

Crédit tout court : merci Cuné !

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Je crois que je l'aime, un film de Pierre Jolivet (2007)

29 Décembre 2007, 21:08pm

Publié par Laure

Avec Vincent Lindon, Sandrine Bonnaire, François Berléand, Liane Foly, Kad Merad

je-crois-que-je-l-aime.jpgSynopsis (allociné) :
Lucas, un riche industriel de 43 ans, célibataire, sort tout juste d'un terrible chagrin d'amour. Il rencontre alors Elsa, une jolie céramiste réputée de 38 ans à qui il a commandé une fresque pour décorer le hall de son entreprise. Irrésistiblement attiré par la jeune femme, Lucas va tenter de la conquérir.
Mais s'il est très habile en affaires, il n'est pas du tout sûr de lui en amour. Il va donc charger le détective privé de sa société, Roland Christin, de découvrir pour quelles raisons étranges cette jolie femme est encore célibataire, en mettant les méthodes d'investigation les plus modernes au service d'un sentiment ancestral : l'amour.

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C'est une petite comédie romantique et sympathique qui ne casse pas trois pattes à un canard, mais qui se laisse regarder (idéal pour faire son repassage en même temps !) Un scénario sans surprise, une fin un peu rapide, à voir pour le couple Lindon-Bonnaire, et Berléand, que j'aime bien également.

Ma note : 3,5/5

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L'interprétation des meurtres - Jed Rubenfeld

29 Décembre 2007, 17:46pm

Publié par Laure

Traduit de l’américain par Carine Chichereau

 

interpretation-des-meurtres.jpgEn 1909, Freud se rend à New York pour une série de conférences. Il souffre de pathologies diverses et rentre mécontent de son voyage. Sur place, il rencontre d’autres psychanalystes, dont Carl Jung. Au même moment, une femme est sauvagement assassinée, après avoir subi des violences. Younger, jeune psychanalyste new-yorkais conseillé par Freud lui-même, va s’intéresser à l’affaire et aider l’enquêteur Littlemore.

 

Ce polar historique m’a plu par bien des aspects, notamment la partie véridique retraçant le voyage de Freud aux Etats-Unis en 1909. On y découvre également une reconstitution intéressante de la ville de New York au début du XXème siècle, et pour ma part, la psychanalyse m’a toujours fascinée, aussi mon intérêt pour ce roman était déjà gagné. On sent que l’auteur maîtrise parfaitement son sujet, un peu trop peut-être : il n’est pas toujours facile de le suivre, notamment sur l’interprétation psychanalytique d’Hamlet, sur laquelle Younger revient très régulièrement.

Ce premier roman ambitieux pêche peut-être par quelques longueurs, digressions ou développements qui alourdissent inutilement l’histoire. Passionnant, roman historique, roman policier, roman d’aventures, roman social, on s’y perd quand même un peu. Trop de dispersion, peut-être, et un Sigmund Freud qui finalement ne tient pas un rôle principal dans ce polar, mais une toile de fond intéressante.

 

Lu dans la cadre du Grand Prix des Lectrices de Elle 2008 pour le mois de janvier, dans la catégorie Policiers.

 

Ed. Panama, nov. 2007, 473 pages, prix : 22 €

Ma note : 14/20 (barème Elle : de 11 à 14 : assez bien)

Crédit photo couverture : éd. Panama et Amazon.fr

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Google it express

28 Décembre 2007, 13:13pm

Publié par Laure

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Il y a longtemps que je ne vous parle plus des requêtes Google faites par les internautes et qui leur permettent d'arriver dans ces jardins. Elles n'ont souvent rien à voir avec les fleurs d'ici. 
Mais aujourd'hui, une mignonnette : 
"Je suis amoureux d'Hélène" ... 
Pauv'garçon, s'il le faut, j'pourrais peut-être m'appeler Hélène, je demande à voir ;-))

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Cancer and the City - Marisa Acocella Marchetto

27 Décembre 2007, 20:50pm

Publié par Laure

cancer-and-the-city.jpgL’auteur (car il s’agit d’une BD autobiographique) est BD journaliste pour de grands journaux et magazines américains (The New Yorker, Glamour) ; farouchement indépendante, elle est au sommet de sa carrière et s’apprête à 43 ans, à se marier pour la première fois avec un restaurateur italien en vue, lorsqu’à 3 semaines du mariage, elle se découvre une boule au sein…

Une BD sur le cancer, malgré toutes les critiques enthousiastes lues ici ou là, j’étais sceptique. D’abord parce que le personnage, fashionista jusqu’au bout des orteils, m’agace au plus haut point. Et puis force est de reconnaître qu’il y a une rage de vivre étonnante dans cette BD, un humour et un courage forts. Ça ne gomme pas les passages exaspérants, caricaturaux de ce genre d’américaines des séries télé qui n’ont d’autres soucis que la marque de leurs escarpins, ces jalousies à deux sous entre filles très « and the city », mais Marisa s’est battue, a supporté, a préféré rire de la couleur de son balayage que pleurer sur les effets secondaires de la chimio qu’elle esquisse pudiquement. Et puis cette crainte de perdre l’homme qu’elle aime, ce renoncement forcé à la maternité, cette rémission toujours incertaine, le fonctionnement du système de soins aux Etats-Unis, tout cela et tant d’autres choses encore nous apprennent beaucoup de la réalité, même sous le trait d’une BD très colorée. Alors non au hype à toutes les sauces (qui définitivement me hérisse), mais oui à l’universel qui nous touche.

 

Lu dans le cadre du Grand Prix des Lectrices de Elle 2008, catégorie Documents, pour le mois de janvier.

 

L’Iconoclaste, sept. 2007, 211 pages, prix : 22,90 €

Ma note : 13/20 (barème Elle : de 11 à 14 : assez bien)

Crédit photo couverture : éd. L’Iconoclaste et Amazon.fr

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Moi, je sais tout sur le Père Noël - Nathalie Delebarre et Aurélie Blanz

21 Décembre 2007, 16:17pm

Publié par Laure

En ces derniers jours de l’Avent, j’admire toujours les blogueuses qui chaque jour nous présentent un album de Noël, je ne suis ni aussi organisée, ni aussi inspirée. Bravo à elles, de nous rappeler toutes ces belles lectures de Noël !

 
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Un album nous a séduites cette année, Mosquito et moi, c’est celui de Nathalie Delebarre et Aurélie Blanz : Moi, je sais tout sur le Père Noël (Na !!)

 

Parce que voyez-vous, Mosquito a 6 ans ½, et des grands frère et sœur qui s’amusent à la faire tourner en bourrique en lui répétant à longueur de décembre que le Père Noël, ça n’existe pas ! Mosquito n’aime pas qu’on la prenne pour une andouille ni qu’on lui enlève ses rêves. Mosquito sait bien que les Pères Noël dans la rue sont des faux, des messieurs déguisés, parce que le vrai Père Noël, on ne le voit jamais, Mosquito sait bien que le Père Noël lit sa lettre, puisqu’il lui répond (merci tous les petits lutins postiers de Libourne), mais Mosquito voit aussi que dans les magasins il y a des tas de jouets et des tas de gens qui en remplissent leurs chariots, parfois même avec leurs enfants dedans. 

Alors peut-être que ses frère et sœur ont raison, peut-être que le Père Noël n’existe pas ? A chaque argument avancé par les grands, cet album vous fournit une réponse pleine d’humour et de feinte naïveté. Bref la magie est entretenue et correspond bien aux enfants qui sont justement entre deux âges (ou qui ont des sales grands frères rabat-joie) : clouons leur le bec à ces grands idiots, bien sûr qu’il existe le Père Noël, nan mais !

 

« Les grands disent que le Père Noël n’existe pas. Mais moi, je ne les crois pas. Parce que si le Père Noël n’existe pas, qui apporte les cadeaux chaque année ? »

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« Les grands disent que le Père Noël n’a pas le temps de lire les lettres de tous les enfants. Il y en a beaucoup trop. Mais moi, je sais qu’il le fait, parce qu’il ne se trompe jamais de cadeau. »

 
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 "Les grands disent que ce sont les petits qui croient au Père Noël. Mais moi, je sais qu’ils se trompent. Parce que si le Père Noël n’existe pas, pourquoi en parlent-ils tout le temps ? " 

 

La lecture de : Malice

 

Gautier-Languereau, nov. 2007, prix : 11 €

Ma note : 4/5

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Loin, chez personne - Valérie Sigward

20 Décembre 2007, 14:34pm

Publié par Laure

loin-chez-personne.jpgDeux sœurs partent en quête du père qui les a abandonnées alors qu’elles avaient 14 ans, quittant la maison sans explication. Alors qu’elles ont à présent la trentaine, elles ne l’ont jamais revu. Elles partent donc toutes deux, Julia et sa sœur (la narratrice du récit), accompagnées des deux enfants de Julia : Wilfrid, 7 ans, et Jeffrey, petit garçon autiste placé en institution et embarqué au passage, pour un road movie aussi étonnant que captivant.

p. 12 : "On va où ? On va chez qui ? demande Wilfrid. 
Loin. Chez personne."

Au fil du parcours la tension est palpable et le suspense prend place : vont-elles tuer ce père ? Le roman diffuse une atmosphère étrange, parfois proche de l’absurde, à l’intensité dramatique croissante. La fin, si elle ne répond pas à toutes les questions (comme disait Tatiana : Laure veut les clés !) laisse une surprise apaisante. Un curieux roman, trouble, prenant, que je n’ai d’abord pas vraiment aimé, mais que le déroulement de l’histoire m’a montré comme une vraie réussite, un nouveau coup de maître de Valérie Sigward, après la fugue.

Vrai coup de cœur pour Clarabel , je n’y ai en revanche pas perçu l’humour dont elle parle. Je crois que j’ai davantage rapproché de l’absurde ces situations-là. De même je l’ai trouvé plutôt sombre et mystérieux, curieux comme nous en avons une lecture si différente, tout en l’appréciant également ! Pas du tout une bouffée d’air frais pour moi ! Bref, un petit roman à découvrir !

 

Julliard, janv. 2007, 122 pages, prix : 15 €

Ma note : 4/5

Crédit photo : éd. Julliard et Amazon.fr           

Crédit tout court : merci Clarabel !

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De l'autre côté de la Seine

16 Décembre 2007, 21:47pm

Publié par Laure

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Avaler des km sur l’A28, écouter Mosquito chanter sur Vanessa Paradis, se demander si le mercure va finir par dépasser les - 4° …
 

 

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Prendre le bac pour traverser la Seine, se sentir tanguer au volant de sa voiture à l’arrêt.

 

Rencontrer des blogueuses en nombre, ne pas mettre de photo, je crois qu’elles ne le souhaitent pas, circulent-elles sous le manteau ? Ne pas avoir pu échanger de mots avec toutes, table trop longue ? Découvrir des clans des folies des rires des bêtises de filles un homme bestial Heathcliff in Wuthering Heights, un autre homme bestial à la table derrière, éclats de rire, où sont passés les éclats de lire ?

 

Regarder les sourires de nos filles, la grande faisant la lecture à la plus jeune. (l'objet merveilleux : Rita et Machin)

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Miss C. et Mosquito

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