Les jardins d'Hélène

Je rachète ou pas ? (Les cosmétiques du mois # février 2017)

27 Février 2017, 18:24pm

Publié par Laure

Je rachète ou pas ? (Les cosmétiques du mois # février 2017)

12 produits terminés ce mois-ci, c’est parti !

 

- Un seul gel douche (il y en a plusieurs d’entamés !) : extradoux douceur de lait de chez Auchan, hydratant, sans paraben, sans phenoxyethanol ; flacon de 300 ml, le truc qui coûte rien (1,79 €), qui a une texture onctueuse et un parfum assez neutre : je lui préfère celui senteur « lait de coton » ou "lait d'amande", mais sinon, oui, ça fait partie des basiques que j’aime et suis tout à fait susceptible de racheter. Je ne sais pas s’il existe toujours car Auchan vient de changer toute sa gamme douche qui s’appelle désormais Cosmia.

 

 

- Un shampooing et après-shampooing 2en1 qui date de Mathusalem (belle couche de calcaire dessus), spécial cheveux colorés et abîmés, marque Cien de chez Lidl : très bien, mais j’essaie d’acheter désormais des shampooings et soins plus soft sans sulfates pour préserver la couleur, donc je ne vais pas racheter mais il fait le job si on cherche du rapide pas cher.

 

 

 

- Déo Sanex, gamme Natur Protect, le vert, peaux normales, 24 H, mon préféré dans la gamme. Sans sels d’aluminium mais à la pierre d’alun (d’aucuns disent que c’est du pareil au même), je le trouve efficace et je le rachète régulièrement. La présentation aérosol permet de s’habiller tout de suite après, ce qui est plus délicat avec les formes billes (je trouve).

 

 

 

- Un déo de voyage en vaporisateur sans gaz, de chez Sephora, acheté trois fois rien pendant leurs soldes, 10 ml, le flacon est tout petit et tient dans la main. Sans sels d’aluminium et sans parabènes, promet une efficacité de 24 heures. Il est totalement inefficace, et irritant avec l’alcool qu’il contient. Ça va un jour d’hiver où vous restez chez vous, mais utilisé en voyage en été, à marcher toute la journée, oubliez !!

 

 

 

 

- Crème corps « Formule ensorcelante anti-peau de croco » de chez Garancia, 3 en 1 : nourrit et hydrate 24h ; gomme sans grain et lisse ; raffermit. Pour tous types de peaux. 98% d’ingrédients naturels dont pas mal de bio. Tube de 150 g reçu dans un coffret cadeau pour Noël, j’ignore donc son prix (23,50 € sur le site de la marque). C’est un très bon produit mais que j’ai détesté pour une seule raison dès la première utilisation : ce truc « pue la mort », le vieux, le rance. Je ne suis pas allée vérifier en magasin pour comparer avec un autre tube, le coffret semblait avoir été conçu pour Noël, et la bougie offerte avec a les mêmes notes de fond, donc je pense que c’est lié à l’un des ingrédients. Je l’ai utilisé jusqu’au bout parce que c’était un cadeau qui me faisait réellement plaisir, mais non je ne rachèterai pas, je trouve le parfum vraiment trop désagréable. Dommage car en soi le produit hydrate bien, je ne me prononce pas sur le lissant et raffermissant (peut-être, rien de flagrant).

 

 

 

- Masque hydratation intense, gamme Hydra Végétal de chez Yves Rocher, tube de 75 ml, (prix : 13,90 € mais il y a toujours des promos chez Yves Rocher), à la sève d’érable et à la sève d’agave bleue issue de l’agriculture biologique, avec plus de 90% d’ingrédients d’origine naturelle : j’aime beaucoup ce produit, frais, délassant, hydratant, facile à appliquer et à rincer, apaisant sur la peau. Je pense le racheter. Moins pratique que les masque en tissu type Sephora, mais bien plus économique pour le nombre d’utilisations.

 

 

 

- Elixir jeunesse, sérum « essence double action, réparation + anti-pollution) : flacon en verre avec pipette, prix : 35,80 € (promos possibles pour l’avoir à moitié prix) : une texture aqueuse très agréable, qui pénètre très vite, laisse la peau douce, rien remarqué sur la « réparation » et ma campagne n’a pas l’air si polluée, mais je suis susceptible de racheter pour la « légèreté » du produit, non gras et non collant, son absorption rapide par la peau. Le prix avec remises est attractif pour un sérum.

Le flacon pipette fonctionne bien, même si ce n’est pas ce que je trouve le plus pratique.

 

 

 

- Super gelée démaquillante yeux, Sephora, flacon pompe 125 ml, promet une double action démaquillage et soin. Acheté en soldes on le trouve à un prix raisonnable, sinon un peu cher au prix fort (6,95 €) pour un démaquillant pour les yeux. Mais j’aime beaucoup sa facilité d’utilisation, la texture gelée qui ne coule pas, l’impression d’en utiliser moins qu’un produit liquide, efficace et agréable. Je rachète de temps à autre. J’aime aussi l’équivalent chez Mixa en grandes surfaces.

 

 

 

- Eau micellaire démaquillante, aux 3 thés détoxifiants, visage, yeux, lèvres, Yves Rocher, format voyage (50ml) reçu en cadeau dans la boutique. Le format voyage était pratique mais ce n’est franchement pas la meilleure eau micellaire du marché, elle ne démaquille pas suffisamment à mon goût, même si je n’ai pas rencontré de problème avec. Je ne pense pas la racheter.

 

 

 

 

- Papiers matifiants « Adopt » : incontournables de ma salle de bain ou de mon sac à main, ils font partie des moins chers (2,95 € les 80 feuilles), ce qui est toujours important quand on en utilise quotidiennement. La boite n’est pas distributrice, mais à ce prix-là on lui pardonne. A commander en ligne car la marque a fermé plusieurs de ses boutiques et il n’y en a plus par chez moi. J’ai vu qu’Yves Rocher en avait sorti, à tester donc !

 

 

 

 

Pour finir, un peu de vide dans les mascaras, en fin de vie :

 

- Le volum’up d’Agnès B, coloris gris lin. C’est le seul mascara gris (plus doux que le noir) qui restait sur le marché, j’avais fait des stocks au moment de la liquidation de la marque, cette fois c’est bien fini et je n’en ai trouvé nulle part ailleurs.

- Mascara Phenomen’eyes de Givenchy, coloris Vintage Bronze : pas fan de la brosse boule très spéciale, mais je l’avais acheté pour sa couleur. Eh bien là il va falloir désormais se contenter de noir ou de marron, ou de bleu les jours de folie, mais un peu trop 90’s.

 

 

Voilà pour cette fois 😊

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Nous irons tous au paradis – Fannie Flagg

25 Février 2017, 15:10pm

Publié par Laure

Traduit de l’américain par Jean-Luc Piningre.

 

Elner Shimfissle est une adorable petite vieille, octogénaire, qui vit seule avec son chat Sonny (7ème du nom), mais à qui sa nièce et quelques amis rendent régulièrement visite. Un matin, alors qu’elle cueille des figues pour faire de la confiture, elle est piquée par un essaim d’abeilles et tombe de l’arbre. Elle est emmenée à l’hôpital et malheureusement son décès est prononcé assez rapidement.

 

Sa famille et tous les habitants d’Elmwood Springs sont émus et réfléchissent déjà à l’hommage qu’ils vont lui rendre. Ils prennent soin de ranger sa maison, récupérer son chat, etc. C’est aussi pour eux l’occasion de s’interroger sur la vie qui peut s’arrêter à tout moment, et donc sur leur propre rapport à la mort, à la famille, aux proches, à l’importance de dire aux gens qu’on les aime tant qu’ils sont là.

 

Mais pendant ce temps-là sur son lit d’hôpital, Elner est bien consciente de tout ce qui l’entoure, sans comprendre ce qu’il lui arrive. Elle est en train de vivre ce qu’on appelle une expérience de mort imminente. Elle en sortira bien vivante, à la grande frayeur et surprise du corps médical et de tous ses proches.

 

Mais la suite est plus compliquée qu’il n’y paraît, car bien sûr, lorsqu’elle raconte son aventure, tous la pensent folle et craignent alors qu’elle ne soit internée, et lui demandent de ne pas en parler. Pourtant certains des détails qu’elle narre sont bien réels et impossibles à inventer. L’hôpital de son côté craint des poursuites judiciaires.

 

Nous irons tous au paradis est un roman léger, fantaisiste, et débordant d’humour et d’ironie. Le personnage d’Elner est très attachant. Pourtant au bout d’un moment le roman s’essouffle un peu, l’expérience de mort imminente se révèle un peu longue et plate, et l’après tout autant.

 

L’ensemble reste néanmoins léger et sympathique et fait passer un bon moment.

 

 

Cherche midi, septembre 2016, 390 pages, prix : 20 €

Etoiles :

Crédit photo couverture : © tributetoalfred et éd. Du Cherche-Midi.

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Overblog me rappelle que....

17 Février 2017, 19:19pm

Publié par Laure

Ce blog a 11 ans aujourd'hui. 

 

Voilà c'est dit. 😃🎂🎁📚🎉🌞

(Oui c'est à peu près tout l'effet que ça me fait)

Eh bien entamons ensemble la 12 ème année  ☺💕

(Toujours pas eu le temps de refaire les peintures)

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Votez Splat ! / Splat papa poule - d'après le personnage de Rob Scotton

16 Février 2017, 11:32am

Publié par Laure

Votez Splat ! / Splat papa poule - d'après le personnage de Rob Scotton

Splat connait un grand succès auprès des enfants (de la maternelle au CP environ), je le constate tous les jours à la bibliothèque.

 

Les Splat petit format sont faits sous licence, c’est-à-dire par d’autres auteurs et illustrateurs que Rob Scotton, et je trouve hélas la qualité très inégale.

 

Votez Splat !

Je ne suis pas sûre que sortir un Splat Président aux couleurs du drapeau français en période préélectorale présidentielle française soit de très bon goût, même si ici, Splat est élu… délégué de classe. Là où ça me gêne encore plus, c’est que l’ouvrage commence ainsi :

« Splat vient d’être élu délégué des élèves ». Deux pages plus loin : « Splat doit présenter son programme ». Splat ne ferait-il pas les choses un peu à l’envers ? Il est d’abord élu et ensuite il présente son programme ? Même lorsque mes enfants ont élu leurs délégués de classe (et pas en maternelle !), les jeunes candidats ont toujours dû dire AVANT ce qu’ils feraient en tant que délégués, faire des affiches, etc.

 

Donc là, non, on nous prend un peu pour des idiots, et ce n’est pas parce qu’on s’adresse à des petits de 3-6 ans qui ne verront qu’un chat tout mignon qu’on doit leur dire n’importe quoi.

 

Après, ça se calme, Splat présente un programme consensuel qui ne remporte pas l’adhésion des foules, il change donc pour de super idées hyper populaires mais totalement irréalistes et irréalisables. La maitresse l’aidera à revenir dans le droit chemin, et tiens, si tu commençais par rénover la bibliothèque de l’école, totalement à l’abandon ?

Ce 21ème titre de la collection des Splat n’y sera pas indispensable.

 

 

 

Splat papa poule :

 

Après mon coup de gueule contre Votez Splat ! voici un Splat plus inoffensif !

 

Dans sa classe, les élèves attendent l’éclosion imminente de douze œufs de poule. Pour savoir qui rapportera le carton à surveiller chez lui ce soir, ils tirent à la courte paille. Splat gagne bien sûr !

 

Il fait bien attention, mais les poussins naissent et courent déjà partout en faisant plein de bêtises. Splat en papa poule est vite débordé par cette tribu remuante. Et puis malheur, il en manque un ! où est donc passé ce douzième fripon ? Ouf, tout est bien qui finit bien !

 

On ne s’inquiètera pas trop du réalisme de l’histoire, elle ne fait pas de mal et les expressions des visages sont rigolotes !

 

 

Nathan, février 2017, 32 pages, prix : 5.95 €

Etoiles : Votez Splat :   Splat papa poule :

Crédit photo couverture : © Rob Scotton et éd. Nathan

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Sexe sans complexe – Bérangère Portalier, ill. de Frédéric Rébéna

15 Février 2017, 10:48am

Publié par Laure

Sexe sans complexe - Bérangère PortalierCet ouvrage destiné aux adolescents était sélectionné pour les Pépites du Salon de Littérature et Presse Jeunesse de Montreuil en 2016, ce qui en fait déjà un gage de qualité établie par des professionnels.

 

Il aborde sans tabou et sans complexe, avec un vocabulaire adéquat et proche des jeunes, tous les sujets liés à la sexualité, qu’elle soit hétéro ou homosexuelle. Une ou deux double(s) page(s) par sujet abordé (avec des illustrations sympas qui rythment et aèrent l’ensemble) : aimer son corps, les règles, la masturbation, le premier rapport, le désir, le plaisir, la contraception, les sextapes, etc. (il y a 26 chapitres au total)

 

L’ouvrage accorde une large place d’une manière globale au fil des rubriques au respect de soi et de l’autre, et liste en dernière page des sites de référence sérieux.

 

Un livre salutaire et bienveillant, qui ne prend pas les jeunes pour des idiots, qui ne tourne pas autour du pot en matière de vocabulaire, on applaudit et on l’offre autour de soi.

 

Actes Sud junior, juin 2016, 75 pages, prix : 14 euros

Etoiles :

Crédit photo couverture : © Frédéric Rébéna et éditions Actes Sud junior

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Ne parle pas aux inconnus – Sandra Reinflet

14 Février 2017, 15:01pm

Publié par Laure

Ne parle pas aux inconnus - Sandra ReinfletCamille, 17 ans, vient de réussir son bac. Elle fait la fête et assiste au concert de son amoureuse polonaise Eva, une jeune femme insoumise et impétueuse, qui s'est fait exclure de leur lycée pour tenues inappropriées. Jalouse des marques de sympathie que ses fans montrent à Eva, Camille finit la soirée ivre et à moitié nue, violée, à moins qu'elle ne fût consentante, elle ne s'en souvient pas et ne s'en émeut pas plus que cela. Le lendemain, Eva et sa famille ont disparu, tandis que Camille avale la pilule du même nom.

 

Ne parle pas aux inconnus, c'est ce que sa mère déprimée et renfermée sur elle-même a passé son temps à leur dire, à Camille et à sa petite sœur Émilie. Si Émilie est effacée et dans le rang, Camille étouffe au sein de cette famille qui ne la comprend pas. Elle met les voiles pour retrouver son amante Eva, dont elle éprouve le manque, et qui ose la laisser sans nouvelles.

 

Commence alors un road trip en stop à travers l'Europe, direction la Pologne où elle espère retrouver Eva. Faire confiance aux inconnus, voilà une nouvelle donne avec laquelle elle est bien obligée de composer, tournant le dos à tous les préceptes familiaux.

 

Construit en 3 parties qui déstructurent le titre (Ne pas / aux inconnus / parle), le roman décrit avec réussite le passage de l'adolescence à l'âge adulte, la découverte de soi, les épreuves pour y parvenir, et pour mieux le garder en mémoire cet acronyme: NPAI, ne parle pas aux inconnus, n'habite pas à l'adresse indiquée, n'oublie jamais tes rêves et ce que tu es au fond de toi.

 

La première partie m'a un peu agacée, une écriture rapide, à vif, nerveuse, qui laisse exploser la rage de l'adolescence. Ça fonctionne, mais ce livre ne s'adresse-t-il alors pas plutôt à des adolescentes ? Puis au fil du voyage, l'écriture s'apaise, mûrit avec son personnage.

 

C'est donc particulièrement réussi et bien construit. Si la troisième partie utilise des ressorts connus (le journal intime, le secret de famille, l'accident qui apparaît simultanément chez Delacourt, au secours) qui la rendent un poil mélo, les qualités de l'ensemble, ainsi que la psychologie fouillée des personnages notamment secondaires (le père, les routiers), font oublier ces points faibles.

 

 

On oubliera donc volontiers le manque de crédibilité de-ci de-là comme par exemple l'absence d'enquête policière pour disparition de mineure (évacuée en une phrase à la fin du roman), la bienveillance sans faille d'un monde glauque de routiers portés sur les magazines pornos mais au cœur tendre et sage, pour ne garder que le côté optimiste qui n'est pas sans rappeler le message du récent « La la land » : n'oublie jamais tes rêves, sois-toi même et ose aller vers l'inconnu, aussi dure soit l'épreuve.

 

 

« Après Pierre, j'avais pourtant juré de ne plus jamais m'attacher. A quoi ça sert d'aimer les gens si après ils disparaissent en te laissant encore plus seule qu'avant ? »

 

 

à grandir.... comme le montre ce roman d'apprentissage à la résonance ultra contemporaine:-)

 

 

Badge Lecteur professionnel

 

 

éd. JC Lattès, janvier 2017, 383 pages, prix : 19 €

Etoiles :

Crédit photo couverture : © Loulou Robert photographiée par Sandra Reinflet / éd. JC Lattès.

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Un piano pour Pavel – Mymi Doinet et Amandine Laprun (ill.)

10 Février 2017, 16:42pm

Publié par Laure

Un piano pour PavelMymi Doinet est une auteur jeunesse que je suis depuis la découverte de sa série sur « la Tour Eiffel » qui voyage. Elle offre ici un roman pour les jeunes lecteurs (sachant déjà bien lire, à partir de 7 ans), qui relate l’histoire d’un jeune orphelin virtuose au piano.

 

Pavel prend le train tout seul pour rejoindre une nouvelle famille d’accueil. Il profite de son temps d’attente à la gare pour jouer quelques instants sur le piano mis à disposition des voyageurs dans le hall, sous le regard ébahi de personnages inattendus. Car l’originalité du roman, c’est la multiplicité des points de vue, le jeune garçon est brillant, et c’est le piano, l’horloge de la gare, une feuille tombée de son sac, une canette de jus d’orange, etc. qui prennent la parole tour à tour.

 

Je suis entrée dans l’histoire, et mince, c’est déjà fini. Je voulais vraiment connaitre la suite, même si on la devine heureuse. Prise par le récit, je n’ai pas vu que c’était le parcours et le temps du voyage qui étaient finalement plus importants que le quotidien de Pavel que l’on imaginera ensuite.

 

La musique (ou tout autre passion) peut aider à surmonter un quotidien douloureux, relier à une famille perdue, adoucir la vie. Et quand cette passion est partagée, elle relie les hommes.

 

Un très beau roman jeunesse, qui prend pour décor un phénomène récent : la mise en place de pianos dans les halls de gare, et qui sort de la tristesse un petit garçon orphelin, source inépuisable de la littérature jeunesse !

 

J’aime beaucoup les illustrations d’Amandine Laprun (voir son site) et ses choix de couleurs.

 

Nathan, coll. Premiers romans, février 2017, 42 pages, prix : 5,90 €

Etoiles :

Crédit photo couverture : © Amandine Laprun et éd. Nathan

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Troisième Personne - Valérie Mréjen

5 Février 2017, 15:56pm

Publié par Laure

Troisième personne - Valérie MréjenUne femme s'apprête à sortir de la maternité avec son nouveau-né. Elle porte un regard neuf sur la ville qui l'entoure, et voit désormais le monde à travers les yeux de son enfant. Elle décrit aussi les premières fois de l'enfance, jusqu'à ce que sa petite fille marche et gagne en autonomie.

 

J'avais lu des critiques enthousiastes sur le web, et j'ai été très très déçue par ce texte, je n'ai pas du tout adhéré à l'écriture, qui m'a dérangée et empêché d'éprouver la moindre émotion. Un texte froid, distant, détaché, trop détaché.

 

Troisième Personne, c'est l'enfant qui transforme le couple en famille, mais c'est aussi (et j'y ai surtout vu cela), le choix de la troisième personne de la narration. Froide, distante, clinique. J'ai entendu dans une émission radio l'auteur dire qu'elle avait voulu « objectiver des souvenirs », pour ma part, j'ai eu du mal à finir ces 140 courtes pages, tant je me suis sentie tenue à distance d'un propos à la fois individuel et générique mais froidement descriptif, impersonnel. La maternité sans émotions.

 

C'est du moins ainsi que je l'ai « ressenti », et pourquoi je l'ai pris en grippe malgré moi.

 

 

éd. P.O.L, janvier 2017, 140 pages, prix : 10 €

Étoiles :

crédit photo couverture : © éditions P.O.L

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Janvier 2017 en couvertures ...

1 Février 2017, 07:01am

Publié par Laure

En janvier, j'ai lu :

 

(les couvertures sont cliquables quand elles renvoient à un billet)

 

Une bouche sans personne - Gilles Marchand

    

 


           

 

 

    

 

 

 

En janvier, j'ai vu :

 

Glacé - série TV d'après le roman de B. Minier    The good wife saison 5

 

 

(Glacé, série TV d'après le roman de Minier) / (The good wife saison 5)

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