Les jardins d'Hélène

Fantaisie sur l'échafaud

30 Août 2007, 12:35pm

Publié par Laure

- Hélène et le Wifi : parfois, Hélène fait des trucs cons, comme tout le monde. Au lieu de continuer à se transformer en homard sur la plage ensoleillée, elle interrompt la cuisson pour faire le geste stupide : ouvrir son portable sur un hot spot wifi. Wouah ! Il pleut des emails ! Du coup, ça rafraîchit.

- Hélène a un QI de moule : « vous n’avez rien compris au dernier J***-P*** B*** ! » lui écrit-on. Ah ben oui,  peut-être, mais Hélène n’a jamais prétendu qu’elle avait la science infuse.

- Hélène a enfreint la loi (que nul n’est censé ignorer) : - euh, quelle loi ? « L’écrivain chouchou tu aduleras » - Ah… euh… c’est quoi un écrivain chouchou ? C’est un romancier (possible au féminin) qui laisse des petits mots gentils sur les blogs, ou par extension, toute personne liée au Royaume éditorial qui dit du bien des blogueuses sur un espace public. – Ah… euh… il est publié où cet article de loi ? Il est intrinsèque, voyons, Hélène, tu vas pas chipoter ! La vindicte populaire a parlé : guillotine en place publique.

Epilogue : Hélène n’a plus de tête (comme elle n’avait qu’un QI de moule, elle n’a pas perdu grand-chose) mais elle a gagné mieux : la liberté.

Et dans la pluie de mails, Hélène a oublié de remercier la journaliste qui l’informe qu’elle l’a référencée sur un grand site féminin en 2 petites lignes : « des notes de lecture directes et franches et un humour qui fait mouche, pour découvrir des livres en tout genre »

Hélène s’en retourne au soleil et jure un peu tard qu’on ne l’y prendra plus : le wifi est interdit en vacances, sous peine de nuit d’insomnie.

- Hélène rédige une nouvelle charte (déformation poldocienne) :

Ø      Des auteurs étrangers tu liras : le temps que leur agent  littéraire aille à la pêche et traduise, on a des litres de moules devant nous.

Ø      Des auteurs morts tu liras : ah non, ils ont des ayant droits, et certains mordent très fort !

Ø      Comme toujours tu continueras, parce que sinon ça n’a plus aucun sens. Ou comme Cuné tu arrêteras.

Retourne à tes moules Hélène, et n’oublie pas les frites.

 

(Longeville-sur-Mer (85), 29 août 2007, 3h30 – 4h du matin.)

 

 

 

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J'apprends - Brigitte Giraud

28 Août 2007, 17:07pm

Publié par Laure

j-apprends.jpgNadia apprend… Elle apprend à lire à l’école primaire, elle apprend la vie quotidienne et le racisme dans la cité, on la suit jusqu’au collège. On essaie aussi de comprendre pourquoi elle vit avec « celle qui n’est pas [sa] mère ». L’Algérie en ombre de fond… Souvenirs tout simples qui « parleront » bien aux 35-45 ans, j’ai souvent eu l’impression d’avoir fréquenté la même école qu’elle. Bel hommage soit dit en passant, à cet « ascenseur social » qui ici a bien rempli sa mission et d’éducation et d’épanouissement. Un texte simple régulièrement émaillé de petits poèmes, de ceux qu’on apprenait à l’école… Pourtant au bout d’un moment on s’en lasse un peu. Le charme n’opère plus. Mais en poche à petit prix, c’est une petite madeleine qu’on peut s’offrir sans hésiter.

 

Elles l’ont lu : Cuné,  Cathulu  et Clarabel ...

 

Stock, août 2005, 156 pages, prix : 15 €. Existe en poche (5 €)

Ma note : 3/5

Crédit photo couverture : Le livre de poche et Amazon.fr

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Vacances !

25 Août 2007, 05:26am

Publié par Laure

tongs-rayees.jpg                     OU                 parapluie.jpg ??



Maintenant que j’ai assuré l’intérim tout l’été (32 articles en juillet, 22 au 25 août, on va dire que c’est pas si mal), je vous abandonne sans scrupules pour aller patauger dans l’océan et patouiller sur les plages du sud...Vendée ! A moi le premier soleil de l’été (ahem) ou toujours le k-way de rigueur, de toute façon ça ne pourra pas être pire que les 2 mois qui viennent de s’écouler. Oui, je vis au nord de la Loire, ce qui s’est traduit par un 19° maxi, et la seule fois de tout l’été où j’ai mis le linge à sécher dehors, il a fallu que je le réessore. 
 

Au retour et bien, c’est pas original, mais ce sera la rentrée scolaire, et la mienne avec un mois de septembre professionnel très chargé. Sans compter que le 13 septembre, je change de case, je transporte mes cartons mes mômes et mes bestioles dans une maison miniature à 1 km d’ici. Même boulot d’ailleurs que si je partais à l’autre bout de la France.  

Il risque donc d’y avoir des interruptions involontaires de programme, blogueuse surbookée ou techniques numériques en attente.

D’ici là, lisez bien, et faites le tri pour moi dans ce grand bal qu’est la rentrée littéraire !

Retour prévu le 2 septembre.

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This is not a love song - Jean-Philippe Blondel

24 Août 2007, 03:22am

Publié par Laure

result.png D’emblée, que l’auteur me pardonne. J’ai aimé tous ses précédents romans, certains m’ont bouleversée, et je suis bien la première désolée de ne pas avoir été subjuguée par ce dernier. Ce sont tout simplement des choses qui arrivent… et ça n'engage que moi !

 

this-is-not-a-love-song.jpgPeut-on aimer un roman dont tous les personnages sont haïssables ?

Vincent, la quarantaine, marié et père de deux fillettes, dirige la chaîne de restaurants les cafés bleus, en Angleterre, où il vit désormais. Joli revers à son adolescence de loser. 
Susan a besoin de faire un break, pas de le quitter non, juste respirer. Elle l’envoie donc passer une semaine en France, chez ses parents. L’occasion pour Vincent de revoir son frère Jérôme, sa belle-sœur Céline, ses amis de jeunesse, Etienne, Olivier, et Fanny, son ex…

Vincent est le modèle parfait du mec à baffer : arrogant, imbu de lui-même, prétentieux, vulgaire, mais à force de traiter tous les autres de beauf, on l’est  bien davantage soi-même non ? Jusque là, je n’ai pas trop vu où l’auteur voulait en venir. (Euh plus loin non plus d’ailleurs). Descendre en flèche la médiocrité de son passé. Jouer les durs pour taire la faiblesse ?

Malgré tout, retrouver Etienne, le meilleur ami, l’ex colocataire pendant 9 ans, celui qui a tant fait jaser. Vincent nie l’homosexualité, sans en avoir démenti la rumeur, cultive le plaisir du trouble, ambigu. Il dit non mais il en crève d’envie. Pas clair avec son désir. Dix ans après, Etienne est introuvable, les copains sont évasifs et la belle-sœur qui se débat avec sa stérilité se dévoue : viens Vincent, faut que je te parle. La descente en misère d’Etienne, l’ascension du riche pendant que le pauvre se meurt. Est-on responsable pour autant de ses amis quand on ne les voit plus ? Alors à défaut d’avoir baisé Etienne, Vincent baise sa belle-sœur. Là encore, c’est trouble, ambigu, ça se veut violent, c’est seulement pathétique.

p. 198 : « Papa est en haut qui fait du gâteau. Maman est en bas qui fait du chocolat. Le grand frère et sa belle-sœur sont à la cave et baisent dans les betteraves. » Il a fumé quoi Blondel pour écrire ça ?

Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas dans ce roman. Peut-être parce que Blondel a voulu jouer à ce qu’il n’est pas, un mauvais garçon ?

La presse nous annonçait un roman différent, plus dérangeant. On y retrouve ses fantômes : le trio amoureux sous une forme ou une autre, l’homosexualité latente, mais au lieu de les traiter avec finesse et sensibilité comme dans ses précédents romans, il a fait jouer les gros durs à ses personnages : on cherche midi à quatorze heures et on finit par baiser vulgairement pour étouffer ses démons, au lieu de les affronter. Non, this is not a love song.

 

Quelques mots de l’auteur : sur le site de Robert Laffont


Robert Laffont, août 2007, 211 pages, prix : 18 €

Ma note : 3/5

Crédit photo couverture : éd. Robert Laffont

 

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Ether - Franck Resplandy

23 Août 2007, 07:31am

Publié par Laure

ether-resplandy.jpgRecommandé par Tatiana et par Cuné (de vive voix!), Ether est un roman un brin dérangeant et un peu détonnant. Un peu seulement, car je reste mitigée après ma lecture. Pas d’emportement explosif !

Dans le nord des Corons et des mines désaffectées, une infirmière en cancérologie fait la rencontre d’un photographe parisien par hasard, alors qu’il vient faire soigner à l’hôpital une légère blessure. Elle l’invite chez elle et sans plus d’ambages, il abuse violemment d’elle. Contre toute attente cet outrage la trouble et annonce le début d’une relation décalée où elle se laisse aller au plaisir des sens tout en espérant s’attacher réellement cet homme plutôt solitaire et fuyant. Le roman court au drame et son atmosphère en est palpable. La vie de l’infirmière est morose et effacée, un ex mari pas complètement sorti de sa vie, un père polonais mort de silicose, les pages sur les diagnostics des patients cancéreux en fin de vie sont difficilement soutenables, et le final inéluctable. Néanmoins, plusieurs bémols : l’alternance des rendez-vous d’amour et de la solitude forcée par la nonchalance de l’amant est un peu répétitive, vers le milieu du livre, on tourne un peu en rond et espère un rebondissement qui nous sorte de cette torpeur. Il finit par arriver, mais quand alors il tente de s’expliquer par le passé de l’héroïne et son drame de l’enfance (je vous laisse découvrir, je ne vous dis pas tout !), là on a envie de crier stop : c’est un peu trop facile et déjà tellement lu et relu ! Tous ces drames de l’existence qui s’expliquent par la même origine dans l’enfance, ça manque cruellement d’originalité ! Donc oui, un roman intéressant, mais qui ne remporte pas ma totale adhésion. 
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Et si quelqu’un pouvait m’expliquer ce passage de la page 226 : « elle a fait quelques pas encore, bousculée par les uns, évitée par les autres, puis, au bord de crier ou de perdre connaissance, elle s’est glissée dans une cabine téléphonique et l’a appelé. Il fallait juste qu’elle l’entende, qu’elle entende sa voix. Lui seul lui donnerait la force de continuer, d’aller jusqu’au bout. » Elle appelle qui ? Je sais bien qu’à une heure du matin j’ai un peu de mal à percuter, mais j’ai beau relire autour, je ne comprends pas. Pas l’amant, c’est techniquement impossible dans son état. Pas le père, il est mort. L’ex mari : pourquoi ? Je suis perdue !

 

Plon, août 2007, 234 pages, prix : 18,50 €

Ma note : 3/5

Crédit photo couverture : éd. Plon.

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Le désir d'amour - Dieter Wellershoff

22 Août 2007, 04:51am

Publié par Laure

Traduit de l'allemand (mais on ne nous dit pas par qui !!)


d--sir-d-amour.jpgLeonard revient sur les lieux du suicide de sa femme qui a eu lieu quelques années auparavant… Le narrateur revient sur la naissance du couple Anya – Leonard, qui s’est formé par hasard chez un couple d’amis, Paul et Marlene. La première moitié du roman est prenante et bien construite : une fine analyse psychologique des personnages, une jeune épouse délaissée, un désir d’amour fort qui s’assoiffe en vain. Où va mener cette souffrance intime ? Ces deux couples étroitement liés vont s’emmêler et se dénouer, l’herbe est-elle plus verte quand elle a un goût d’adultère ? Puis le roman s’essouffle, il y a à mon avis un bon quart de trop sur ces 400 pages. A tel point que j’ai abandonné ce livre dans un coin à 80 pages de la fin, plusieurs semaines avant de le finir, sans envie, juste parce que « si près du but c’était dommage », mais l’issue de toute façon, on la connaît dès les premières pages (le suicide). Donc oui, moyen. Un peu plus ramassé, et il aurait fait un très bon roman psychologique.

 

L’avis de Miss Clarabel 

Ed. de Fallois, 2002, avril 2004 pour le livre de poche, 411 pages, prix : 6,95 €

Ma note : 2,5/5

Crédit photo couverture : Le livre de poche et © Johannes Hüppi, via Amazon.fr

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Le chat dans la gorge - Colette Pellissier

21 Août 2007, 06:06am

Publié par Laure

chat-dans-la-gorge.jpgConseillé et prêté par Cuné, applaudi par Clarabel, ce premier roman est une petite perle, ciselée et sobre comme je les aime. (Ah elle me connaît bien dame Cuné quand elle a dit que ça me plairait !)

N’en déplaise au titre, ce n’est pas un livre sur les chats – même s’il en est question dans l’histoire – mais plutôt un livre sur ces petits riens de la vie que vous avez du mal à ravaler.

Ça commence sur un anniversaire d’épouse à ne pas oublier, gentiment rappelé au père par un des trois enfants du couple, ça s’achève sur… non je ne vous le dis pas, mais entre, c’est rempli d’émotions à demi-mot, des tromperies de la vie et de ses tracas – presque – ordinaires. Tous les personnages ont leur secret ou leur difficulté intérieure, que ce soit l’usure du couple, les petites chamailleries des enfants, le double amour passé de la grand-mère ou le souci de la famille pour Mich, ce tonton pas tout à fait comme les autres.

Beaucoup de tendresse et de sensibilité, un bien joli roman, bien trop court et en même temps juste comme il faut (oui je ne suis pas à un paradoxe près), 26 petits chapitres qui sont à eux seuls presque des nouvelles, une bien jolie plume, non vraiment, c’est à découvrir !

Et si votre libraire ne l’a pas, insistez pour qu’il vous le commande, ou allez faire un tour directement chez Delphine Montalant : elle vous l’enverra très vite ! 

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Ed. Delphine Montalant, août 2007, 80 pages, prix : 12 €

Ma note : 4,5/5

Crédit photo couverture : éd. D. Montalant et © Antoine Durand

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Le livre des petites truffes - Hana Deka Club

20 Août 2007, 16:31pm

Publié par Laure

Voilà bien le genre de livres qui ne sert strictement à rien mais qui plaît diablement à tous ! Ce ne sont pas des photos d'art, juste des minets sous un angle décalé, la patte "Hanadeka".
On m'a prêté ce livre ("parce que tu aimes les chats", et je me suis dit qu'il plairait aux filles : en effet, il ne cesse d'être feuilleté par les petites mains qui passent ici : les copines de Mosquito, celles de grandinette...


Extraits : 




aout-2007-021.jpg




tigrou.jpg

euh non, ça c'est notre tigre !!

C'est malin, maintenant elles me réclament toute la collec :

gros-livre-petites-truffes.jpg   
éd. Hors collection, avril 2004, prix : 10 €
Ma note : 4/5
Crédits photos : Amazon.fr, éd. Hors collection, et moi !

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Le courage de revenir - Didier Jean

19 Août 2007, 12:48pm

Publié par Laure

courage-de-revenir.jpgC’est l’histoire presque banale d’un adolescent ordinaire qui fait une fugue ordinaire. Yoan en a assez des remarques désobligeantes des profs : « insuffisant », « peut mieux faire » et des exigences démesurées de ses parents. On ne pourrait pas le laisser vivre un peu ?!

Il marche vers Paris, sans un sou en poche, et va rencontrer diverses personnes qui vont (un peu trop miraculeusement) l’aider. Yoan sortira plus fort de cette expérience et trouvera le courage (pas si simple !) de revenir. On pourrait trouver un peu trop gentillette et idéaliste cette histoire de fugue où finalement tout se passe bien, mais un peu de douceur ne fait pas de mal non plus : c’est vrai que des histoires sordides, on en a tous les jours à la pelle. Alors la leçon que retiendra Yoan, c’est que grandir, c’est aussi faire avec la vie qu’on a, et qu’il faut essayer de la composer plutôt que de la subir en ronchonnant.

Un style parfois soutenu qui ne cadre pas trop avec le profil que l’on veut faire d’un ado, à moins justement qu’on veuille le sortir des clichés, une fable plutôt qu’un fait divers, alors à offrir à un garçon de 13-14 ans qui se pose inévitablement beaucoup de questions ?

 

Syros jeunesse, coll. Les uns les autres, sept. 2005, 106 pages, prix : 7,50 €

Ma note : 3/5

Crédit photo couverture : éd. Syros et © François Supiot

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Lise, ma chérie - Véronique Delamarre

17 Août 2007, 18:16pm

Publié par Laure

lise-ma-cherie.jpgRégina est une mère célibataire très occupée par son job, et ne sait plus comment faire quand il s’agit d’être maman. Elle ne témoigne pas d’affection à sa petite Louise de 6 ans. A l’école, l’institutrice s’alerte de voir Lise toujours silencieuse et triste. Elle propose un rendez-vous avec la psychologue. Quand Régina croit avoir une fille surdouée (car Lise est très bonne élève et on lui propose de passer directement en CE1 aux vacances de Toussaint) elle est fière mais refuse toujours de voir une quelconque souffrance chez sa fille et prie l’équipe éducative de se mêler de ce qui la regarde. Jusqu’au jour où Lise perd connaissance en cours de danse, un malaise bien plus grave qu’en apparence.

Alors où est le problème, pour que cette lecture me laisse sur ma faim ? Sur le manque d’amour et de temps maternel de la mère, c’est bien vu et bien décrit, pour le reste, malheureusement ça se gâte. Car Lise va tomber très gravement malade, sans que jamais sa maladie soit nommée : leucémie ? Elle va rester hospitalisée puis alitée pendant quasi 1 an (l’année scolaire en fait) mais n’est soignée que par des perfusions et des prières. (Suffisant pour une leucémie ?) Ou grave dépression ? Non, ça ne colle pas, on ne fait pas des prises de sang quasi tous les jours pour une dépression. Lise est entourée et choyée par ses grands-parents, qui l’aiment sincèrement. C’est cet amour qui la sauvera, tout comme de voir sa mère changer et redevenir plus proche et attentive. On comprend bien l’idée de l’amour salvateur, mais voilà, ça manque de précision, même si c’est un texte pour enfants. Et la présence envahissante de la religieuse infirmière, des prières et du bon Dieu me gêne un peu. C’est amené finement et respectueusement, le grand-père dit d’ailleurs que lui ne sait pas trop s’il croit en Dieu ou non, il laisse cela à sa femme ! Donc voilà, c’est plein de bons sentiments, mais ça ne marche pas vraiment… à moins de croire à l’amour tout-puissant. Bien sûr que l’on veut y croire, mais ça manque un peu de réalisme et de concret dans l’histoire.

A noter pour l’éditeur : un très bon choix de police et des pages aérées, voilà qui facilite la lecture et la rend agréable.

Conseillé de 8 à 88 ans, c’est dit sur la couv’ ;-))


Oskar jeunesse, mai 2007, 99 pages, prix : 5,95 €

Ma note : 2,5/5

Crédit photo couverture : éd. Oskar jeunesse et Amazon.fr

 

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